Purpuricenus kaehleri (Linnaeus, 1758)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Cerambycidae
Sous-Famille :
Cerambycinae
Tribu :
Trachyderini
Genre :
Purpuricenus
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- 1 observation
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1
commune -
1
observateur -
Première observation
1904 -
Dernière observation
1904
Informations espèce
Taille : 8 -21 mm
Diagnose :
Longicorne à stature large et trapue, à tête, antennes et pattes robustes noires. Le pronotum irrégulier à tubercules coniques latéraux bien développés est noir, parfois taché de rouge. Le disque est glabre. Les élytres rouges possèdent une tache ovale noire n’atteignant ni la base ni l’apex des élytres. Espèce à coloration très variable.
Longicorne à stature large et trapue, à tête, antennes et pattes robustes noires. Le pronotum irrégulier à tubercules coniques latéraux bien développés est noir, parfois taché de rouge. Le disque est glabre. Les élytres rouges possèdent une tache ovale noire n’atteignant ni la base ni l’apex des élytres. Espèce à coloration très variable.
Détermination : Assez délicate.
Espèces proches :
Confusion possible avec les deux autres Purpuricenus français, tout particulièrement le P. globulicollis dont il se distingue par la forme du thorax et la stature allongée et parallèle.
Confusion possible avec les deux autres Purpuricenus français, tout particulièrement le P. globulicollis dont il se distingue par la forme du thorax et la stature allongée et parallèle.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de juin à août.
Les adultes sont actifs de juin à août.
Biologie-éthologie :
La larve saproxylique se développe dans les branches et branchettes mortes de nombreux feuillus (orme, chêne, robinier, châtaignier, prunier, peuplier, saule, figuier, noisetier, noyer, aubépine…). Les adultes sont rarement floricoles, on les rencontre parfois sur les saules blessés ou les exsudats de sève. Le cycle biologique demande deux ou trois années.
La larve saproxylique se développe dans les branches et branchettes mortes de nombreux feuillus (orme, chêne, robinier, châtaignier, prunier, peuplier, saule, figuier, noisetier, noyer, aubépine…). Les adultes sont rarement floricoles, on les rencontre parfois sur les saules blessés ou les exsudats de sève. Le cycle biologique demande deux ou trois années.
Biogéographie et écologie :
Espèce à large répartition en Europe centrale et méridionale. En France, elle se rencontre sur une large moitié méridionale, en particulier dans les chênaies thermophiles. Souvent abondante par piégeage alimentaire, elle est cependant très rarement observée par recherche visuelle.
D’après :
Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
Espèce à large répartition en Europe centrale et méridionale. En France, elle se rencontre sur une large moitié méridionale, en particulier dans les chênaies thermophiles. Souvent abondante par piégeage alimentaire, elle est cependant très rarement observée par recherche visuelle.
D’après :
Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
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Cerambyx kaehleri Linnaeus, 1758
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