Loriot d'Europe

Oriolus oriolus (Linnaeus, 1758)


Classe : Aves Ordre : Passeriformes Famille : Oriolidae Genre : Oriolus
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  • 18
    observations

  • 9
    communes

  • 9
    observateurs

  • Première observation
    2014

  • Dernière observation
    2023
  • PNRGM
    Participation à 6 Observations
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

  • INPN
    Participation à 5 Observations
    Part d'aide à la prospection : 27.78 %

    Fiche organisme

  • FAUNE BRETAGNE
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 11.11 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille/poids :

Longueur totale : 24 cm. Poids : 56 à 79 g.

Diagnose :

Le mâle possède une livrée d’un jaune intense sur tout le corps, de la tête au croupion, contrastant fortement avec les ailes noires. La femelle, aux couleurs plus discrètes, a un manteau vert olive, le croupion et les flancs jaunâtres, les rectrices brun verdâtre et le dessous blanchâtre. L’un des cris, miaulant, éraillé et disgracieux poussé par les deux sexes, contraste fortement avec le chant du mâle particulièrement flûté et mélodieux.

Détermination :

Simple. Facile sur photo.

Période d’observation :

Mai à août-septembre.

Biologie-éthologie :

L’essentiel de la nourriture est prélevé dans les frondaisons. Le régime du Loriot traduit bien l’exploitation de ces strates. Au printemps, l’espèce consomme beaucoup d’insectes : chenilles de papillons diurnes et nocturnes, libellules, mouches et hyménoptères. A la fin de l’été, les baies sauvages sont préférées, de même que les fruits.

Biogéographie et écologie :

Cette espèce niche dans la zone paléarctique, du Maroc à l’Asie centrale, entre les latitudes 30° et 60°N. L’habitat du Loriot associe deux composantes principales que la plupart des espèces du genre Oriolus trouvent en région tropicale : un environnement chaud, ce qui tend à limiter son implantation en altitude ; un habitat forestier frais et humide, aux frondaisons luxuriantes, mais doté de clairières. L’espèce apprécie en effet un certain effet de lisière. Cette dernière exigence l’amène à s’installer préférentiellement dans les forêts riveraines des cours d’eau, les alignements d’arbres bordant les eaux libres, les peupleraies. La proximité de l’eau n’est toutefois pas indispensable et l’espèce s’observe aussi dans les parcs arborés, bosquets, vergers et allées de grands arbres.

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Coracias oriolus Linnaeus, 1758 |

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