Phragmite des joncs

Acrocephalus schoenobaenus (Linnaeus, 1758)


Classe : Aves Ordre : Passeriformes Famille : Acrocephalidae Genre : Acrocephalus
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  • 670
    observations

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    communes

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    observateurs

  • Première observation
    1964

  • Dernière observation
    2024
  • INPN
    Participation à 264 Observations
    Part d'aide à la prospection : 39.40 %

    Fiche organisme

  • PNRGM
    Participation à 179 Observations
    Part d'aide à la prospection : 26.72 %

    Fiche organisme

  • Bretagne Vivante
    Participation à 111 Observations
    Part d'aide à la prospection : 16.57 %

    Fiche organisme

  • FAUNE BRETAGNE
    Participation à 29 Observations
    Part d'aide à la prospection : 4.33 %

    Fiche organisme

  • Ligue de Protection des Oiseaux
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 0.30 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille/poids :

Longueur totale : 13 cm. Poids : 9,5 à 22 g.

Diagnose :

Le Phragmite des joncs fait partie du groupe des fauvettes aquatiques présentant un plumage rayé sur le dos. Comme tous les Acrocephalus, il a une tête assez plate terminée par un bec fin. Le large sourcil crème, bien visible, tranche avec les joues et le sommet de la tête sombre. La partie ventrale est de couleur crème, nuancée de chamois sur les flancs. Le croupion est nettement roux.

Détermination :

Moyennement difficile.

Espèces proches :

Il ressemble au Phragmite aquatique Acrocephalus paludicola et à la Lusciniole à moustaches Acrocephalus melanopogon. Cependant, le Phragmite aquatique s’en distingue par la bande jaune très nette au sommet de la tête, les flancs et le croupion rayé et le dos nettement plus marqué de bandes jaunes. La Lusciniole ne se rencontre que dans les marais du littoral méditerranéen et présente un plumage contrasté presque noir et blanc à la tête et non pas brun et crème comme celui du Phragmite des joncs.

Période d’observation :

Avril à août-septembre.

Biologie-éthologie :

Insectivore stricte durant la reproduction, l’espèce peut occasionnellement ingérer des matières végétales durant la période internuptiale. Les oiseaux s’alimentent surtout à la base de la végétation dense des roselières et des fourrés marécageux.

Biogéographie et écologie :

L’espèce se reproduit principalement dans les régions tempérées et septentrionales d’Europe, entre les 40° et 70° de latitude Nord, de la Turquie à la Norvège et de l’Irlande à l’ouest jusqu’aux rives du Ienisseï en Sibérie centrale à l’est. Elle apprécie les zones parsemées de buissons, de roseaux ou de massettes dans les marais ou les ceintures de végétation des eaux stagnantes.

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Motacilla schoenobaenus Linnaeus, 1758

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