Sylvain azuré (Le)

Limenitis reducta Staudinger, 1901


Classe : Insecta Ordre : Lepidoptera Famille : Nymphalidae Sous-Famille : Limenitidinae Tribu : Limenitidini Genre : Limenitis
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    observations

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    observateurs

  • Première observation
    2001

  • Dernière observation
    2024
  • PNRGM
    Participation à 18 Observations
    Part d'aide à la prospection : 31.58 %

    Fiche organisme

  • INPN
    Participation à 10 Observations
    Part d'aide à la prospection : 17.54 %

    Fiche organisme

  • Bretagne Vivante
    Participation à 6 Observations
    Part d'aide à la prospection : 10.53 %

    Fiche organisme

  • Partenaire
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 1.75 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille :

Adulte : 45 - 50 mm

Diagnose :

Papillon au dessus noir bleuté avec des taches blanches dont une tache discoïdale caractéristique sur l’aile antérieure. Le dessous est de couleur brun-rouge (lie de vin) avec des taches blanches et gris bleuté à la base. La ligne de points noirs sur le dessous au niveau de l’aire post-discale est également caractéristique. Mâles et femelles sont d’apparences similaires. La chenille est vert brunâtre.

Détermination :

L'adulte est relativement facile à reconnaître.

Espèces proches :

Il peut être confondu avec le Petit Sylvain qui n’a pas de reflets bleutés sur le dessous et qui possède deux lignes de points noirs sur le revers des ailes.

Période d’observation :

L’adulte est visible de mai à fin août.

Biologie-éthologie :

Le Sylvain azuré réalise deux cycles par an. La chenille se développe sur différentes espèces de Camérisier (dont le Camérisier à balais, Lonicera xylosteum) et de Chèvrefeuille (Lonicera periclymenum, L. implexa et L. etrusca). La femelle pond quelques dizaines d’œufs qu’elle pose un par un sur les feuilles de la plante hôte.

Biogéographie et écologie :

Le Sylvain azuré est présent de la péninsule ibérique à l’Iran. Espèce typique des lisières et des orées de forêts méditerranéennes, on la trouve également dans des milieux ouverts dans le nord de son aire. En France, elle vole du niveau de la mer jusqu’à 1°700 m d’altitude.

D’après

Bellmann, H. (trad. Luquet, G.), 2013. Quel est donc ce papillon ? Les guides Nathan. Paris. 449 p.

Doux Y., Gibeaux C., 2007. Les papillons de jour d’Île-de-France et de l’Oise. Biotope, Mèze. Muséum national d’Histoire naturelle, Paris. 288 p.

Lafranchis, T., Jutzeler, D., Guilloson, J.-Y., Kan, P., Kan, B. 2015. La vie des papillons. Editions Diatheo. Montpellier. 751 pp.

Lafranchis, T. 2016. Papillons de France. Editions Diatheo. Montpellier. 351 pp.



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Azuritis reducta (Staudinger, 1901) | Azuritis reducta prodiga (Fruhstorfer, 1909) | Azuritis reducta schiffermuelleri (Higgins, 1932) | Limenitis anonyma Lewis, 1872 | Limenitis camilla auct. non (Linnaeus, 1764) | Limenitis camilla prodiga Fruhstorfer, 1909 | Limenitis camilla reducta Staudinger, 1901 | Limenitis reducta prodiga Fruhstorfer, 1909 | Limenitis reducta schiffermulleri Higgins, 1933 | Limenitis rivularis auct. non (Scopoli, 1763) | Limenitis schiffermulleri Higgins, 1933 | Papilio camilla Denis & Schiffermüller, 1775

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Observations mensuelles