Murin d'Alcathoe

Myotis alcathoe Helversen & Heller, 2001


Classe : Mammalia Ordre : Chiroptera Famille : Vespertilionidae Genre : Myotis
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  • 54
    observations

  • 14
    communes

  • 13
    observateurs

  • Première observation
    2003

  • Dernière observation
    2019
  • PNRGM
    Participation à 17 Observations
    Part d'aide à la prospection : 31.48 %

    Fiche organisme

  • Bretagne Vivante
    Participation à 17 Observations
    Part d'aide à la prospection : 31.48 %

    Fiche organisme

  • BIODIV BRETAGNE
    Participation à 11 Observations
    Part d'aide à la prospection : 20.37 %

    Fiche organisme

  • Partenaire
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 5.56 %

    Fiche organisme

  • Groupe Mammalogique Breton - GMB
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 5.56 %

    Fiche organisme

  • AMIKIRO
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 5.56 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Longueur (T+C) : 3,9-4,4 cm. Longueur avant-bras : 3,08 cm – 3,46 cm. Envergure : environ 20,0 cm. Poids : 3,5 à 6 g. Dents (38) : I2/3, C1/1, P3/3, M3/3. Echolocation (fréquence terminale) : supérieure à 40 kHz.

Le Murin d’alcathoe, récemment décrite en France (2001) est le plus petit Myotis d’Europe. Il ressemble beaucoup au Murin à moustaches et au Murin de Brandt, une clé de détermination est nécessaire pour une identification rigoureuse. Le pelage tend du brun au roux, le tragus est pointu et ne dépasse qu’à peine l’échancrure de l’oreille. La face est claire et le pelage frontal du crâne, en brosse, descend nettement vers le museau.

Il est observé le plus souvent dans les milieux forestiers associés à une forte concentration de zones humides, notamment dans les vallées encaissées, près des rivières ou dans les vallées de montagne. Il se met en activité très tôt, juste après le coucher du soleil, dans la végétation dense et diversifiée et le long de structures fortement végétalisées ou au-dessus de l’eau, et semble capturer ses proies au vol. Pour l’hibernation, il semble préférer nettement les gîtes arboricoles, notamment les fissures et ne fréquente pas les cavités. Les mises bas peuvent avoir lieu jusqu’à la mi-juin, préférentiellement dans des gîtes arboricoles.

Extrait de l'ouvrage : ARTHUR L. & LEMAIRE M. 2009. Les Chauves-souris de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Biotope, Mèze (Collection Parthénope); MNHN, Paris, 544p.
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