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- 13 observations
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5
communes -
10
observateurs -
Première observation
1900 -
Dernière observation
2020
Brech - Plougoumelen - Pluneret - Saint-Nolff - Vannes
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BIODIV BRETAGNE
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille :
20-36 mm.
Diagnose :
Dessus noir à légers reflets bleus, parfois verts, les marges intensément bleues acier, parfois vertes. Pattes, antennes et dessous noirs. Les élytres présentent une sculpture assez confuse, avec des chainons linéaires peu distincts. Corps allongé, les pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, le premier segment thoracique est étroit et les élytres très larges, plus de deux fois plus large que ce dernier. La tête est longue et porte de solides mandibules. Le mâle se reconnaît à ses tarses (les derniers articles des pattes) antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la femelle lors de l’accouplement. Brachyptères, les élytres sont soudés (l’espèce est inapte au vol).
Facilité d’identification :
Assez facile
Confusion possibles :
Ne peut être confondue qu’avec les sous-espèces sombres de C. solieri Dejean, 1826 (localisées dans le sud des Alpes et avec des côtes élytrales complètes et distinctes) ou avec certaines formes larges de C. problematicus Herbst, 1786, qui est toutefois bien plus convexe et n’a jamais le premier segment thoracique aussi étroit.
Périodes d’observation :
Toute l’année. Active principalement de la fin du printemps jusqu’à l’automne. Hiverne à l’état adulte.
Biologie/Ethologie :
Cette espèce est forestière. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Larves et adultes, bien qu’ayant les mêmes proies, ne mangent pas de la même façon. Les adultes ont des mandibules dotées d’une incisive coupante et dévirent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d’injecter des enzymes qui digèrent la proie de l’intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l’aide du même canal mandibulaire (digestion dite « extra-orale »).
Biogéographie :
Existe dans la majeure partie de la France, en plaine comme en montagne, mais est absente de Corse.
D'après : Coulon, J., Pupier, R., Queinnec, E., Ollivier, E. & Richoux, P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
20-36 mm.
Diagnose :
Dessus noir à légers reflets bleus, parfois verts, les marges intensément bleues acier, parfois vertes. Pattes, antennes et dessous noirs. Les élytres présentent une sculpture assez confuse, avec des chainons linéaires peu distincts. Corps allongé, les pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, le premier segment thoracique est étroit et les élytres très larges, plus de deux fois plus large que ce dernier. La tête est longue et porte de solides mandibules. Le mâle se reconnaît à ses tarses (les derniers articles des pattes) antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la femelle lors de l’accouplement. Brachyptères, les élytres sont soudés (l’espèce est inapte au vol).
Facilité d’identification :
Assez facile
Confusion possibles :
Ne peut être confondue qu’avec les sous-espèces sombres de C. solieri Dejean, 1826 (localisées dans le sud des Alpes et avec des côtes élytrales complètes et distinctes) ou avec certaines formes larges de C. problematicus Herbst, 1786, qui est toutefois bien plus convexe et n’a jamais le premier segment thoracique aussi étroit.
Périodes d’observation :
Toute l’année. Active principalement de la fin du printemps jusqu’à l’automne. Hiverne à l’état adulte.
Biologie/Ethologie :
Cette espèce est forestière. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Larves et adultes, bien qu’ayant les mêmes proies, ne mangent pas de la même façon. Les adultes ont des mandibules dotées d’une incisive coupante et dévirent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d’injecter des enzymes qui digèrent la proie de l’intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l’aide du même canal mandibulaire (digestion dite « extra-orale »).
Biogéographie :
Existe dans la majeure partie de la France, en plaine comme en montagne, mais est absente de Corse.
D'après : Coulon, J., Pupier, R., Queinnec, E., Ollivier, E. & Richoux, P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Carabus bohemicus Haury, 1881
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Carabus bosniensis Born, 1918
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Carabus carnicus Depoli, 1926
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Carabus chionobatus Born, 1918
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Carabus cyaneus Fabricius, 1777
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Carabus liburnicus Haury, 1881
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Carabus macedonicus Jurecek, 1928
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Carabus montenegrinus Kraatz, 1878
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Carabus petax Kolbe, 1917
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Carabus siegwarti Born, 1914
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Carabus starensis Born, 1918
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Carabus subrhodopensis Blumenthal, 1976
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Carabus weiratheri Breuning, 1934